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Le coronavirus : un incitateur du maintien à domicile ?

On ne va pas le répéter ; la crise sanitaire liée au coronavirus a causé un grand nombre de morts et des dégâts irréversibles dans nos vies. Le confinement est passé par là. Il aura mis à l’évidence des questions sur le maintien à domicile, notamment pour les personnes dépendantes.

Un confinement éprouvant !

Ces trois derniers mois ont été éprouvants pour tout le monde. Coronavirus, confinement, déconfinement… tous ces mots résonnent dans nos cerveaux comme des aimants. Pour les personnes en difficulté, la vie n’a pas été simple. Plus exposés face au virus, les séniors ont vécu ce confinement avec inquiétude. Loin des proches pour certains, impression de solitude pour d’autres, le confinement a été une épreuve dure à supporter.

La maison : toute une histoire !

Malgré les difficultés, le domicile est bénéfique pour beaucoup de séniors. Les EPHAD et maisons de retraites ont montré certaines lacunes qui ont été source de nombreux soucis (dépistage, manque de moyens de protection…). Le facteur « domicile » a été prépondérant pour ne pas sombrer dans l’angoisse face à un virus de plus en plus préoccupant. Vivre dans le lieu où une personne a ses repères, ses habitudes est un remède efficace dans la lutte contre la solitude. Le domicile est aussi un moyen d’oublier la tristesse de ne plus voir des membres de son entourage, les petits-enfants par exemple.

De nouvelles activités !

Cuisiner, tricoter, bricoler… le confinement a mis en lumière les nombreuses activités à faire pour un sénior, permettant de passer plus rapidement une journée. La cuisine peut servir de thérapie afin d’oublier les problèmes quotidiens (dans ce cas le coronavirus !). Le tricot et le bricolage sont d’excellents moyens de faire revenir la nostalgie de la jeunesse avec un objectif : redonner le sourire et l’espoir de jours meilleurs.

Le coronavirus et son confinement ont démontré une chose : il existe plusieurs moyens de s’occuper chez soi.